Comme chaque année, Ô Gravel est présent au forum des associations de Garidech et tout comme l’année passée, j’ai tenu à y rejoindre Thierry, notre vénéré président non seulement pour lui tenir compagnie et discuter un peu avec lui des diverses choses qui se préparent mais aussi pour lui proposer un petit coup de main à monter le stand. Cependant, une fois de plus, j’ai encore trop traîné devant ma tasse de thé et je suis parti de chez moi à l’heure où j’étais rejoindre Thierry et quand je suis arrivé, le stand était déjà monté.
Le forum permet aux différentes associations du village de se faire connaître des visiteurs, en marge d’un vide grenier qui attire pas mal de monde, mais sur notre stand, il ne se passe pas grand chose, à dire vrai. Assez peu de gens s’y sont arrêté car le gravel n’a pas la même reconnaissance que le rugby ou la gymnastique. Quelques personnes ont bien demandé quelques explications mais il y a assez peu de chance qu’on les revoie sur les chemins blancs. Nous ne sommes pas un club, encore moins un centre de formation ou d’accompagnement pour les enfants souhaitant se mettre au vélo, notamment au VTT.
J’ai donc passé le plus clair de mon temps à bavarder de choses et d’autres avec Thierry, rejoint par Julien en fin de matinée. Ca a aussi été l’occasion de revoir Sylvie, l’épouse de Thierry et leurs deux enfants (pardon… adultes !), Camille et Bastien, ainsi que Delphine, plusieurs fois rencontrée dans le cadre de nos sorties. Nous serons d’ailleurs appelés à nous revoir le weekend prochain puisqu’une Special Ride et une Family Ride sont au programme du 7 septembre.
C’est avec grand plaisir que j’ai fait le chemin inverse en compagnie de Julien pour rentrer sur St-Jean. Le bougre prétend avoir pris quelques kilos et être un peu fatigué en ce moment, mais il n’a pas eu besoin de forcer pour véritablement me déposer dans la montée vers Castelmaurou. Le sandwich à la saucisse de Toulouse, la barquette de frites et surtout le soda glacé offerts par Thierry me sont restés sur l’estomac et c’st seulement à la moitié de la montée que j’ai commencé à trouver un semblant de rythme mais de toutes façons, Julien est devenu tellement costaud que je ne me suis fait aucune illusion sur le fait de pouvoir rivaliser avec lui. Cependant, aussi fort soit-il, nous aimons toujours bien rouler ensemble comme nous le faisions fréquemment les années passées et nous nous sommes promis de remettre le couvert très prochainement, à l’occasion d’une sortie nocturne afterwork.